Plus calmement, l’exposition se poursuit avec deux reliefs muraux, Tokyo (1989) et Alexandrie (1990), composés de fuseaux (horaires) en tiges de fer, photomontages, cartes, verre et néon… traduisant l’attirance de Baquié pour le voyage, la fuite, l’écoulement du temps…
Deux très beaux dessins de 1992, Approche frontale et Approche de face concluent l’exposition.
En écho à l’exposition de la Friche de l’Escalette, la visite du nouveau MAC* s’impose, dans lequel figurent plusieurs oeuvres majeures de Baquié.
*Musée d’Art Contemporain de Marseille